
Ce fameux grain du vinyle

Dj Mys35. Curieuse, mélomane, critique, volontiers acide et surtout pas à un paradoxe près.
Histoires de cires noires ou les déambulations vinyliques d’une mélomane en goguette.
« J’étais en brocante hier, un mec à côté de moi… Il commence à taper la discute avec la vendeuse, parle de collectionneur. On me pose la question. Je feins la novice, « Mwoouaaa ? Ah non, j’suis mélomane. J’ai un tourne disque, j’achète les disques de mon adolescence, tiens, « Les Aristochats », super, bla bla bla ». Et là le mec à côté commence à dire que pour avoir les prix des disques, il faut aller sur discogs et puis sur cdandlp… Nan mais… Pouvait pas se taire le gars ??? »
Vers la fin de la conversation, après de nombreux commentaires où chacun partage son expérience, le gars en question finit par intervenir…
On se retrouve donc avec des centaines de disques, en tas plus ou moins élégants au bas du meuble.Il faut remettre le disque dans sa pochette intérieure, remettre la dite pochette dans la pochette extérieure de manière à éviter à la poussière de rentrer. Puis, on glisse le tout dans la pochette plastique exterieure qui protège la pochette en carton. Tout un art j’vous dis. Et c’est long… Le problème, c’est qu’en rangeant, on se dit qu’on écouterait bien celui là, on en ressort d’autre du meuble et finalement, y’a toujours des disques à ranger.
Tiens, on s’écoute un p’tit Chico Hamilton de 1966 pour me donner du courage (avec Gábor Szabó à la guitare ).